Je suis toujours fasciné par les liens que mon cerveau peut concevoir. Ici, 2 éléments sans corrélations qui, cadrés de façon appropriée, créent une image d’intérêt. J’aime quand la vie me propose ce genre de clins d’œil artistique! Quand on garde l’œil ouvert, l’ordinaire devient extraordinaire.
Portugal – Ma première expérience sur le chemin de Compostelle
Cette photo, prise à Porto au Portugal, me ramène dans un passé postapocalyptique pas si lointain. 2020 l’année ou tout et partout, a l’unisson nous avons mis en pause notre mode de vie pour laisser place a la symphonie «Covid19» dont le nom du compositeur m’échappe.
Je suis de ces privilégié qui non pas souffert de la perte d’un être cher au cours de cette pandémie. J’ai, par contre, visité l’urgence de l’hôpital pour me faire enlever ma vésicule biliaire après 10 crises en 2 ans.
Rien ne me fait sentir plus vivant que voyager.
Londres – Un itinéraire dans l’éphémère
L’éphémère En écoutant London Calling et en errant dans une ville avec tellement d’histoire artistique et humaine, je ne peux m’arrêter de penser à tous ceux qui ont existé et qui n’ont laissé aucune trace dans la mémoire collective. Combien de gens dans l’anonymat ont fait des choses extraordinaires? Combien d’hommes ne seraient jamais rien devenus sans […]
Londres – Les apparences
2 cabines téléphoniques, même ville, 2 réalité totalement différente. Je me pose cette question: quand je voyage, est-ce que je veux accéder uniquement aux beautés d’une ville ? Pour moi, c’est une évidence. Je veux aussi que le moins beau fasse partie intégrante de mon identité de voyageur.
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Autour de ma tour, je m’entoure
De tous mes tourments
Plus on est de fou, plus ça prend d’asiles
Car, on est de plus en plus en plus mentalement fragile.
Notre écorce se corse
Et notre carapace se renforce
À pas de tortue
On s’autotorture
Couteau Suisse
Je suis en camping.Dans la tente de l’attente.Un simple tissu me donne un faux sentiment de sécurité,Face aux fauves qui pourraient se trouver à proximité. Je préfère rester à l’intérieur, assis sur mon postérieur.Si je réussis à faire comme si je n’existais pas,Je serai probablement épargné par ce danger contre la vie.De toute façon, j’ai […]
Le poids de la guerre
Dans la douche, la buéeCamoufle des parties de mon intimitéQui a-t-il derrière cet écran de vapeur ?Ce matin même, j’en avais peur Encore dans les vapesDe mon majeur leverJe dessine sur la glacePour me mettre un sourire dans la face Je ne suis pas déprimée, mais… Réprimé, frustrer, écœurer, aliéné, agacé, énervé, exaspéré, indigné, irrité, enragé, désarmé, […]
Bulle! Envole-toi !
Du haut de la fin de ma quarantaine
Par la fenêtre, je vois une partie de ma réalité confinée.
Et sur cet écran, j’écris mes pensées sur Windows 10.
Voyage, voyage
Sur mon lit de mort, je n’aurai pas de phrases comme « j’aurais donc dû ». Et sur ma pierre tombale, il y serait écrit « Tu me remercieras plus tard » comme épitaphe — amen.
Dessine-moi un mouton
Tout ça, je le sais trop bien, n’est pas la faute à Antoine de Saint-Exupery, dessine-moi un mouton, mais à un désir de vouloir se faire aimer et faire partie d’un tout. Tout comme tout le monde. Si quelqu’un veut ce « pitcher » en bas du pont, vais-je le faire ? À moins que ce soit le pont d’Avignon et que mon ami Pierrot saute le premier. Je préfère aller traire la vache à Maillot. Le problème à vouloir ne pas être comme les autres c’est qu’on finit par être une copie de tous ceux qui n’accepte pas de se conformer… anarchie je t’aime !